Et en 2019, l’équipe d’Elizabeth Egan, de l’université Stanford, a confirmé que les individus portant cette mutation de Piezo1 résistent mieux au paludisme. En 2018, des analyses de grandes bases de données ont validé cette hypothèse : en fait, un variant particulier de Piezo1 existe chez un tiers des personnes ayant une ascendance africaine. Si tel est le cas, le taux de ces mutations devrait être relativement élevé chez les individus d’origine africaine. En effet, la mutation du gène de la drépanocytose a persisté chez de nombreuses personnes d’origine africaine, car elle protège contre le paludisme. En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. Depuis, c'est elle qui doit s'occuper des choses de la maison et, de toute évidence, elle n'a aucune connaissance en jardinage ou en plomberie.