Avoir affaire à une maman à la chatte en feu est une aubaine qu’on ne refuse pas. « Je payais une heure et ça durait deux, trois heures, parce qu’on se collait, on jasait, etc. Je pris en mains chacune de ses grosses fesses que son porte-jarretelles rendait encore plus grosses et appétissantes et la bourrai encore plus fortement. Maman posa son torse sur le canapé, elle mouillait de plus en plus. Elle sinclina sur le canapé alors que je lui présentai ma bite à sa chatte, maman posa son genou droit sur le canapé, je me mis à la besogner.