Une telle stéréotypisation de ce pays et de ses habitants s’appuie dans un premier temps sur la description de la réaction violente de la famille d’Amina Sboui à l’exposition publique de son corps : « la jeune femme, “pourtant majeure” serait mise “sous camisole chimique”, comme le résume crûment Caroline Fourest. 6Pendant cinq mois, l’affaire focalise l’attention des quotidiens et hebdomadaires de gauche et de droite (158 articles), qui voient en Amina la « première Femen tunisienne » pour avoir exposé sa poitrine dans un pays qui recommande aux femmes de se couvrir et, dans les conséquences familiales et juridiques de son geste, la confirmation de l’archaïsme et du sexisme intrinsèque de la Tunisie.
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