C’est ce qu’ont voulu sonder la doctorante en études cinématographiques Salima Tenfiche et Sarah Diffalah, journaliste à L’Obs, dans Beurettes, un fantasme français. Le terme « beurette » en dit long sur l’imaginaire postcolonial français. Ce sont de toute évidence les femmes enceintes. Maintenant, puisque nous incluons une catégorie spéciale pour chaque nationalité ou race, les femmes russes méritent certainement un espace sur ce site, car ce sont des chiennes qui sont prêtes à baiser n’importe quel homme juste pour satisfaire leurs besoins. Nous n’étions plus que deux larves attendant que les jours passent en maudissant le destin qui s’était désintéressé de notre sort. Le passage est à retrouver à 17’40, dans la vidéo ci-dessous.
Surpris encore au lit par sa patronne, Max va devoir se faire pardonner!
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