Mes mains étaient crispées sur ses fesses, je les ai écartés pour mieux voir ma queue lui déchirer la chatte et Francine s’est mise à haleter et jouir bruyamment. Mes couilles claquaient sur sa chatte et son ventre, Francine criait maintenant comme une folle. Maintenant je sais ce que c’est de me faire traiter comme une chienne. Sa chatte se comprimait sur ma queue merveilleusement pendant que je la sentais couler comme une fontaine. Vas y baise baise Nico, baise moi, baise ta Francine, baise moi la chatte, baise moi le cul, défonce moi avec ta queue. D’un mouvement sec des hanches elle fit ressortir ma queue presqu’en entier, maintenant mon gland dans son antre en feu. Elle n’avait pas fini de gémir et de me demander de la baiser encore et encore que je déchargeais dans sa chatte.