Certaines personnes ont encore peur d'acheter un paquet de préservatifs, d'autres ne sont jamais allées dans un sex-shop, tout simplement parce qu'ils ont l'air si louches et si cachés en Russie. Les habitués se rassemblaient devant la machine et disparaissaient peu à peu dans le nuage pour en inhaler les vapeurs. Seulement, le poppers, c’est corrosif et la machine n’aimait pas trop ça. Au hasard, celle que raconte Cyprien Rose, ancien résident du Boy, LE club gay de Limoges, de 1991 à 1992 : “À l’époque, le patron du club versait du poppers dans la machine à fumée, se souvient-il. “Ma mère ne sait pas que je prends du poppers.” Première confidence d’une jeune anonyme à une autre sur le camping du festival Visions, au Fort de Bertheaume, en Bretagne.
Deux lesbiennes, un vibro et un gode ceinture pour un max de plaisir