Un dimanche matin dans mon lit

Nous étions comme chaque dimanche à deviser gaiment de choses et d’autres, à musarder sans se soucier de l’heure, lorsque le sujet dériva comme à l’habitude sur la difficulté à trouver un homme potable à Paris, sur les coups d’un soir, sur les anecdotes diverses et de plus en plus pimentées. Comme nous sommes voisins à Paris, j’ai l’habitude de passer prendre un café, le dimanche après-midi, chez deux de mes cousines. Ici, vous pouvez voir de très belles fesses chez la première personne alors qu'elles sont baisées par des hommes sauvages qui aiment rebenter les culs. Le poëte, selon sa coutume, explique la nature par la fable. Pas question d’être trop intelligent pour se rendre compte des intentions qui avait la cousine salope lesbienne de cette innocent fille qui finira par être son esclave soumise.