Comme le suggèrent de nombreux chercheurs aujourd'hui, et comme en témoignent la gynécologue Odile Buisson et l'urologue et chirurgien Pierre Foldès (qui ont été à l'origine de la première échographie du clitoris en 3D, en 2009, et ont publié, en 2011, Qui a peur du point G??), la sexualité féminine, contrairement à la sexualité masculine, était un champ d'investigation universitaire et pharmaceutique quasiment vierge jusque-là. Les raisons de la méconnaissance de la sexualité féminine vont de l'idéologie à l'économie de marché, mais ce qui m'a intéressée, c'est que d'un point de vue historico-sociologique, le système de domination masculine (étudié notamment par Pierre Bourdieu puis Françoise Héritier) a conditionné les recherches scientifiques en faveur de la santé sexuelle masculine.
Herda Wisky et Adel Bye très excitées par un jeune homme en train de se branler