Mon copain me regarde avec un air satisfait. Qu’à cela ne tienne, mon copain double la cadence. Najid debout derrière moi, sa bite d’âne à la main se régalait de voir mon trou de cul resté bien ouvert entre mes fesses largement épanouies, il écarta encore plus mes jambes, me fit creuser les reins, frottant son énorme gland violacé sur ma corolle béante et humide de mon jus (je mouille du cul). À ma grande surprise, alors que nous nous tenions tous les deux debout là, il regarda rapidement par-dessus son épaule pour vérifier que la côte était dégagée, puis fit un geste en direction de la cabine de toilettes la plus proche. Nous sommes trempés et glacés, et les chameaux portant nos tentes sont bien loin encore.