Bien sûr, ça exige d’accepter la réciproque : le suceur peut aussi être moche ! Si les glory holes se sont vraiment popularisés dans les années 1970 avec l’explosion des droits des gays et de leur sexualité (la multiplication des saunas, des sex-shops et des darkrooms), mais aussi avec la reconnaissance des pratiques sadomasochistes et la naissance des boîtes à partouze pour les hétéros, leur existence est bien plus ancienne qu’on ne le pense. Profitez-en et utilisez-les. Le tchat en direct est par exemple plus sympa que les messages. Preuve s’il en est que le glory hole a pénétré, et depuis longtemps, la culture et l’imaginaire populaires. Et ce, contrairement au XXe siècle, où les glory holes commencent, moralité oblige, à être associés à des pratiques perverses, sales et malsaines.
Collégienne qui vide les couilles de son copain dans une partie de baise à trois