La bonne nouvelle, c’est que cela fonctionne de manière identique lors d’un plaisir partagé que si vous la jouez solo en bonne compagnie de votre main droite. C’est pas beau ? L’ocytocine, une hormone qui nous fait nous sentir bien et détendu, qui est libérée au moment de l’orgasme. La pratique est tellement prisée qu’aux Etats-Unis on peut se procurer The Gay Men’s Guide to Glory Holes, un guide qui recense tous les glory holes disséminés dans le pays, et une marque de vidéos et magazines centrée sur les hétéros lance une ligne de publications pornos sobrement nommée Gloryhole, présentant des jeunes femmes agenouillées derrière des trous d’où dépassent d’énormes bites, accompagnée d’éditos réclamant le droit aux hétérosexuel·
Collégienne qui vide les couilles de son copain dans une partie de baise à trois